
Henri-Charles Geffroy (1895 – 1981) a été un précurseur en écologie :
Déjà en 1920, nous relate Henri-Charles Geffroy, fondateur éclairé de « La Vie Claire », les chiffres alarmants des morts par cancer, maladie cardio-vasculaires, troubles circulatoires graves étaient importants. Il constate qu’en 1979, ces chiffres n’avaient cessés de grossir.
Les américains, en ce début de siècle, ne cessent de s’inquiéter du nombre d’obèse sur leur continent, la France commence sérieusement à être touché par le problème, qui concerne même les enfants. Récemment j’étais assis à côté d’une famille dont les jeunes enfants, durant une heure et demi de spectacle, n’ont cessés de grignoter bonbons et biscuits apportés par la maman. L’ainée, d’une dizaine d’année, portait déjà de sérieux signes d’obésité.
Henri-Charles Geffroy de manière censé nous dit dans un de ses livres, « La vie saine » :« La progression effarante de ces maladies dites « de civilisation » prouve que, malgré les indéniables progrés de la médecine et de la chirurgie, notre civilisation a multiplié leurs causes plus vite que les moyens de les guérir. Or, il serait plus simple de les éviter.
Pour cela, il suffirait de rechercher la principale cause de ces maladies. C’est ce à quoi je me suis attaché à mon retour de la guerre de 1914, au cours de laquelle j’avais été gazé par l’ypérite. » En effet, la gorge et un poumon de H.C.Geffroy sont alors atteint ; en 1935, les médecins ne lui donnent plus que trois mois à vivre… par chance il apprend qu’une médecine pratiquée à Berlin sauve des tuberculeux et des gazés avec une réforme alimentaire qui bannit les produits industriels, la viande et les sous-produits animaux intoxicants ; les médecins prescrivent un régime exclusivement végétal à base de céréales, de fruits et de légumes le plus souvent consommés crus. Sa petite fille indique : « Henri-Charles adopte ce régime et retrouve ses forces. Il éprouve même le besoin de faire des marches de plus en plus longues : c’était inespéré pour un malade dans son état ! Il venait providentiellement d’échapper a la mort… En bonne santé, il décide de consacrer le restant de sa vie à enseigner aux autres ce nouvel « art de vivre. » Notons au passage que la petite fille de H.C. Geffroy à réédité les écrits de son grand-père ; écrits qui nous apparaissent aujourd’hui comme être plus que jamais d’actualité.
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