Au lieu d’inventer une raison pour laquelle Vous ne pouvez aimer le monde, Essayez d’en créer une pour laquelle Vous devez absolument l’aimer.
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Il faut aimer Non seulement au delà de ce que l’on voit, Mais aussi au-delà de ce que l’on ressent, Si l’on veut entonner le chant De la transcendance de soi.
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Aimez le monde, Aimez-le ! Sinon vous serez contraint de traîner Le plus pesant des fardeaux : Votre propre soi Lourd d’amertume.
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Si l’on veut transformer L’amour humain En amour divin Il est essentiel d’avoir Le cœur humble.
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Dites « non » à votre mental qui doute. Dites « oui » à votre cœur qui aime. Vous serez soulagé De vos tensions nerveuses.
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Votre mental récalcitrant Sait ce que rancune veut dire. Votre cœur aimant Sait ce qu’unité veut dire.
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La peur hait. L’amour pardonne. La sagesse oublie.
« Ô, Jésus, c’est l’anniversaire de Ta naissance sur terre ce soir ! - Oui mon Père, je suis heureux que Tu penses à moi, chaque année ! - Ton sacrifice a été grand. Je ne peux rester à dormir. Je veux voir si les hommes Te fêtent comme il se doit ! - Père, ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient il y a deux mille ans. Aujourd’hui, le nombre de mes fidèles a bien grandi, mais même parmi eux, je cherche les cœurs vraiment fervents. - Je sais mon fils, je sais… Après toi, j’ai encore envoyé Mon fils Chinmoy, qui vient juste de revenir à Nous, Ma fille Ananda MoyÎ, Aurobindo Mon bien Aimé, et d’autres, et d’autres… qui Me connaissent comme toi Tu Me connais. Mais le monde dort, et dort, et dort… que puis-Je faire pour le réveiller ? Les hommes souffrent, mais persistent à M’ignorer, à ne pas écouter Ma parole en eux. Vous avez été une centaine à descendre sur terre pour Me révéler, sans compter les prophètes, les sages, les Maitres spirituels qui ne M’ont pas encore totalement réalisés, mais ont diffusé Mon Message autant qu’ils ont put… mais les hommes continuent à dormir, à dormir ; sans compter ceux qui, en plus, ronflent… Et après l’on dira de Moi que je sommeille, que je ne m’occupe de rien… Mais que puis-Je faire si ces individus ne Me trouvent pas, ne trouvent pas la Joie, la Paix, le Bonheur que j’émane, par manque de Me chercher ? »
Qu’est-ce que le yoga ? Le yoga est le langage de Dieu. Si nous voulons parler à Dieu, il nous faut apprendre Son langage.
Qu’est-ce que le yoga ? Le yoga est ce qui révèle le secret de Dieu. Si nous voulons connaître le secret de Dieu, il nous faut nous lancer sur le chemin du Yoga.
Qu’est-ce que le yoga ? Le yoga est le Souffle de Dieu. Si nous voulons voir à travers les Yeux de Dieu et ressentir à travers Son Cœur, si nous voulons posséder le Souffle de Dieu, et enfin si nous voulons devenir Dieu Lui-même, le Yoga nous appellera.
Le yoga est union. Il est l’union de l’âme individuelle avec le Soi suprême. Le Yoga est la science spirituelle qui nous enseigne comment la Réalité ultime peut être réalisée au sein même de la vie.
Il nous faut accepter la vie et accomplir le Divin en nous-mêmes sur cette terre. Le Yoga nous affirme que chaque âme humaine est un représentant de Dieu sur la terre.
Portons à présent notre attention sur l’aspect pratique du Yoga.
Il existe plusieurs types de Yogas :
Karma Yoga, la voie de l’action.
Bhakti Yoga, la voie de l’amour et de la dévotion.
Jnana Yoga, la voie de la connaissance.
Ces trois sortes de Yogas sont considérés comme les plus importantes. Il existe d’autres formes significatives de Yogas, mais soit elles sont des branches des trois formes citées, soit elles leur sont étroitement associées.
Ces trois Yogas représentent les trois portails principaux donnant accès au Palais de Dieu.
Si nous désirons voir Dieu et Le ressentir de la manière la plus intime, nous pratiquerons le Bhakti Yoga.
Si nous désirons réaliser Dieu au sein de l’humanité par notre service désintéressé, nous pratiquerons le Karma Yoga.
Si nous voulons réaliser la sagesse et les gloires du Soi transcendantal de Dieu, nous pratiquerons le Jnana Yoga.
Une chose est certaine. Ces trois voies mènes à la réalisation de Soi dans la réalisation de Dieu, et à la réalisation de Dieu dans la réalisation de Soi.
Rezwana Choudhury Bannya, chanteuse du Bengale, en concert à Moscou
avec le Festival Song of the Soul, le 24octobre 2011,
Interprète un chant sacré de Sri Chinmoy
Paroles
Amarejadi baso bhalo
Niye jao amare aj
Taba paye rakhibo mor
Jiban bhor sanjh
Traduction de Sri Chinmoy
If you really love me
Then take me, my life within
And my life without, today.
At Your Feet divine
I shall place my surrender-life
Of morning duty and evening beauty.
C’était en mai 1802. À Rome, lors de nouvelles fouilles entreprises dans l’antique catacombe de sainte Priscille, la pioche d’un ouvrier heurte une tombe. Aussitôt averti, Mgr Ludovici, gardien des reliques, fixe au 25 la cérémonie de son ouverture.
L’endroit où l’on venait de découvrir le tombeau est la plus ancienne partie de toute la catacombe de sainte Pricille. Sainte Philomène, dont on venait de retrouver les ossements, était une jeune fille de 13-15 ans. C’est aujourd’hui démontré, elle a vécu au siècle apostolique, c’est-à-dire, au plus tard, à l’an 150 de l’ère chrétienne. Soit mille sept cents ans que ces restes du corps de la Sainte dormaient sous la couche humide.
Trois tuiles seulement en fermaient l’entrée, sur lesquelles l’on peut encore lire : « Paxtecum Filumena » : « Paix à toi, Bien-aimée » ; « Philomène » vient du grec et veut dire « bien-aimée ». Autour de l’inscription, des décorations à valeur de symboles : une palme, trois flèches, une fleur et deux ancres.
Petit décodage des symboles par Nidish :
Remarquons que la fleur vient après le mot « Paix à toi » et avant le nom de la Sainte. Cela renforce ainsi l’un, et marque un élan d’adoration vers l’autre, le nom. La fleur en soi est symbole de pureté, de simplicité. Notons qu’elle est composée de trois pétales, comme la trinité, et que ceux-là sont tour à tour comme des bras penchant vers le nom et tendant vers le Ciel, et des flammes tirées vers le haut, celle de l’âme qui s’élève.
Quant aux flèches, deux sont identiques, l’une avant le nom est fleurie, dirigée vers le bas, elle évoque la descente du Ciel de la Joie, l’autre dirigée vers le haut évoque la montée aux Cieux.
Les ancres au sol font penser à l’Éternité. L’action, sa vie éternelle. La palme au début de l’écriture est reliée à la première ancre et fait penser à une flèche plantée dans le bas d’un corps, disons là, la volonté divine qui vient toucher la vie terrestre ; souffrance dans ses parties les plus basses. L’arbre de la victoire fleurit vers les Cieux de ce combat. Même si cela débouche par la mort (première flèche vers le haut). Mais cette mort est la victoire divine (suite des deux premières flèches).
Alors qu’est-ce qui peut faire dire, outre le décodage des symboles, que le parcours de vie de ces ossements soit celui d’une Sainte ? Les témoignages. Nombreux ils ont été.
Et les images actuelles qui représentent la Sainte ? L’on sait qu’un artiste qui peint dans une conscience élevée peut exprimer au moins la conscience du Saint qu’il peint.
Première partie de cet article, a pris sa source sur ce très beau site chrétien ; si vous êtes intéressés, je vous invite à le consulter, vous y trouverez le fruit d’une belle recherche documentée, passionnante et facile à lire sur la Sainte, mais aussi sur toute la vie d’un chrétien. Vous y trouverez de nombreuses références de témoignages sur les miracles réalisés par la Foi de ceux qui ont cru et prié Sainte Philomène.
La deuxième partie, l’analyse de la plaque, est de Nidish
J’ai trouvé cette blague sur un site catholique, je l’ai retravaillée quelque peu, là voilà à votre disposition : Il y a quelque temps, Tom Mamadou, qui était citoyen de l’État d’Alabama, aux USA,d’origine afro-américaine et de confession catholique priait chez lui pour sa mère malade. Quand il acheva sa prière, il décida de se rendre à l’église de sa paroisse et d’y brûler un cierge à son attention. Hélas, le KKK avait pris possession de l’église et renvoyé le Curé ; à l’entrée, ils avaient placardé : « Interdit aux Noirs ». Tom effrayé rebroussa chemin en courant.
De retour au foyer maternel, il s’adressa en prière à Dieu : - Mon cher Dieu, je n’ai pas pût faire brûler de cierge… et embarrassé, il expliqua la raison.
La Voix de Dieu se fit alors entendre :
- Mon enfant, tu sais, tu ne m’y aurais pas trouvé ; Moi non plus Je ne suis pas là où il y a ségrégation. Mais j’ai entendu tes prières, ne t’inquiète pas, ta mère va guérir. Je lui ai donné cette maladie pour t’apprendre à M’aimer. Continue à Me prier. Je vous aime.
Dans les traditions spirituelles il est commun de prendre un Prashad, nous l’avons vu dans un article précédent. Ici, je vais vous raconter de petites anecdotes cocasses mais profondes et élevées liées aux Prashads lancés par mon adoré Maître spirituel Sri Chinmoy.
Sri Chinmoy avec un aspect physique presque commun, je veut dire « humain » comme vous et moi, était sur un plan spirituel très élevé en tous moments. Ils vivaient des souffrances et des joies élevées tout en gardant une attention très pointues et plein d’affection sur chacun de ses milliers de disciples et le monde.
Pour diverses raisons, plus ou moins connues et insoupçonnées, il nous offrait des prashads assez souvent, à notre grande joie. C’était, en effet, pour nous l’occasion de L’approcher. Il est assez facile de comprendre l’état de bonheur qu’est celui d’approcher un être spirituel de Sa dimension. En effet notre mental n’intervenait pas, ne cherchait pas à cerner, à analyser, à comprendre, à juger, seule notre âme avait la Joie profonde et rayonnante d’aller vers la Lumière du Maître.
Le Seigneur Jésus Christ bénit de sa Présence les pains
Dans les traditions spirituelles il est commun de prendre un Prashad, c’est-à-dire une nourriture bénite, après une prière ou un temps de méditation, ou encore un effort de transcendance dédié.
L’on a en tête de belles images colorées de temples indiens où l’on voit des dévots déposer de la nourriture au pied de la représentation d’une divinité ou d’un Maître spirituel auquel ils sont rattachés. L‘on connaît aussi cette scène traditionnelle de l’église catholique où le prêtre met dans la bouche du croyant l’Hostie ; cet acte reprend symboliquement le geste connu du Christ qui partage le pain et l’offre à ses disciples présents à sa table ; ce pain Jésus le présente comme son corps, il faut entendre son « Existence », Sa « divine Présence ». De même la scène de la multiplication des pains que l’on retrouve dans les évangiles est aussi un Prashad que le Seigneur Jésus Christ offre à ses dévots.
Sri Chinmoy offre de la main à la main un Prashad à Haridas Greif
Le Prashad est amené par les disciples au Maître, ou à la divinité figurée par une statue ou une peinture. Le Représentant-Canal de Dieu, à l’écoute des prières, des chants, des mantras, des efforts des dévots, transmet à la nourriture la Lumière dont Il est porteur.
Le Prashad ainsi béni se prend ensuite au pied de l’autel, quand le Maître spirituel ou la divinité honorée ne sont pas physiquement présents, il se prend de la main à la main, ou dans un récipient devant le Maître, quand celui-ci est présent. Aussi, nous l’avons connu avec Sri Chinmoy, il peut être lancé par le Maître au disciple, qui s’éprouve joyeusement à le réceptionner correctement.
La nourriture bénite, le disciple la prend des deux mains ou de la main droite, toujours le plus dévotement et sincèrement possible.
La bénédiction de la divinité ou du Maître spirituel et la dévotion du disciple font que la nourriture est chargée de présence spirituelle. Reste au dévot à la manger avec sa conscience la plus haute, et à l’ingérer de même.
La nourriture bénite apporte au corps physique du disciple la Lumière divine qui l’aide à s’éveiller et à s’ouvrir toujours plus à Dieu.
Par transposition, c’est aussi la raison pour laquelle les personnes les plus éveillées ont commencé, il y a très longtemps, jusqu’à nos jours, à prier ou à méditer devant tout repas ou prise de nourriture, consacrant ainsi leurs aliments, avec un sentiment de gratitude, à leur évolution spirituelle.